Caractéristiques physique |
Taille : 1 m 57 au tome I.
Poids : 48 kg.
Visage plutôt en triangle inversé, naturellement glabre. Cheveux
blond-roux coupés en longue brosse embroussaillée.
Nez droit, légèrement épaté, menton volontaire, yeux marron foncé.
Musclé et sportif. Adore le football, la course et en général toute
activité physique.
Porte des lentilles de contact. |
Caractéristiques morales |
Peut être emporté et impulsif. Capable de colères instantanées
qui retombent comme un soufflé.
En dehors de ses moments soupe au lait, il est généralement calme,
observateur, méthodique.
Altruiste, défenseur de la veuve et de l'orphelin. Grande sensibilité.
Courageux, mais prudent.
Fidèle en amitié. Dragueur avant de connaitre Nathalie.
S'enthousiasme fréquemment devant la beauté de la nature ou des êtres.
Passionné de football, grand amateur de jeu vidéo, notamment FIFA.
Enrage souvent de devoir laisser à Jules la suprématie dans ce jeu.
À des difficultés à exprimer ses sentiments de compassion, préférant
l’assistance physique.
Il est l’indéfectible soutien de son ami d’enfance.
Catholique pratiquant.
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Qualités |
Gentillesse, altruisme, dragueur, mais respectueux, courageux,
prudent, fidèle.
Parle l’allemand et plus scolairement l’anglais. A fait du latin au
collège. Tendance marquée au parler ado ou verlan.
Littéraire, tout en n’étant pas mauvais en sciences.
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Commentaires du sunarchonte |
Né en avril, il a quatorze ans lorsqu’il décide de
suivre son ami Jules chez les Compagnons.
Le visage un peu triangulaire, il est blond-roux, sans être franchement
rouquin. Ses cheveux coupés en longue brosse retombent à l’image
imparfaite d’un aileron d’orque.
Il porte des lentilles qu’il juge plus pratiques que des lunettes.
À son grand dam, il est légèrement plus petit que Jules, mais, par
contre plus trapu et plus musclé.
Paul était capable de colère instantanée, foudroyante. Sa formation lui
a appris à se maîtriser, mais il conserve en lui cette tendance qui lui
joue, quelquefois, des tours, notamment lors de sa première mission.
Il est un adepte du verlan et se dit polyglotte grâce à sa
connaissance, avec plus ou moins d’assurance, de l’allemand et un peu
moins aisément de l’espagnol et de l’anglais. Il parle aussi l’ado.
Paul est un catholique convaincu, mais il s’est éloigné de la pratique
plus par dépit que par choix.
Il est profondément un humaniste qui ne se l’avoue pas. Les enfants,
les femmes, les gens en difficultés trouvent en lui un défenseur
acharné. D’ailleurs, s’il a décidé de suivre Jules, c’est
inconsciemment pour cela.
C’est aussi pour s’écarter d’une situation familiale complexe entre
deux parents divorcés, depuis longtemps, mais qui n’en continuent pas
moins de se combattre.
Comme Jules, il adore le foot et les filles. Mais contrairement à lui,
il est nettement moins exigeant, ce qui lui valait avant les
Compagnons, d’être rarement célibataire bien que là aussi non
pratiquant.
Une idylle avec Nathalie pousse lentement. Il se sent attiré par son
altruisme et sa beauté discrète.
Ses liens avec Jules sont taillés dans le granit. Ils se connaissent
depuis leurs entrées à l’école de foot d’un club du XVI° arrondissement
de Paris. Ils donneraient sans hésitation leur vie l’un pour l’autre et
se soutiennent mutuellement dans les moments difficiles.
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